Premier outil à mettre dans vos signets (et à utiliser par défaut dans votre navigateur) : DuckDuckGo ou Qwant les moteurs de recherche qui respectent la vie privée.


Difficile d’imaginer faire de la science ouverte avec des outils fermés.

Les indispensables libres et ouverts (un des éléments de la science ouverte) à installer.

outre : le navigateur Firefox et le gestionnaire de courriel Thunderbird

… et peut-être, avant tout, un Linux (Ubuntu) plutôt facile à maîtriser pour remplacer votre OS actuel qui est produit par un GAFAM (Google-Amazon-Facebook-Apple-Microsoft)  😉

  • Outils de base (basic tools):
    • La suite LibreOffice (alternative à qui vous savez) et son correcteur grammatical Grammalecte
    • Marktext ou zettlr (libre) pour rédiger en Markdown, pour séparer le fond et la forme et permettre de se passer des usines à gaz (lire Dehut, 2018) que sont les traitements de texte (voir Markdown & vous pour en savoir plus sur MarkDown).
    • Pandoc  … pour transformer tous les formats
    •  Skim (pour pouvoir lire et modifier les fichiers pdf)
    • freeplane ou freemind : deux logiciels de mind mapping (cartes mentales ou cartes heuristiques)
  • Outils plus spécialisés (more specialized tools):

Utilisez alternative to, Framalibre ou Software Alternatives And Reviews pour retrouver d’autres outils (avec suffisamment d’informations pour faire le meilleur choix), consultez aussi :

Gestion bibliographique (en ligne et à installer)

  • Zotero (desktop, web et add on de Firefox, voir module 9 pour une courte formation à Zotero)

 Outils (collaboratifs) en ligne

Pensez aussi à DropBox ou Google Drive pour stocker et partager vos fichiers (même si on reste dans des sources commerciales).

Utilitaires (en ligne)

  • Test de plagiat (plagiarism test) :
  • Onodo (visualisation de réseau)